Selectionnez une rubrique Retour ŕ la page d'accueil Les news du site Les articles sur Cali Les interviews sur Cali Les dates de concert Les biographies du groupe Discographie Vos photos de concert Clip et vidéo de Cali La boutique Le livre d'or du site Le forum du site Le tchat du site Le salon de discution
Le livre d'or de Cali
Le blog de Cali
Le blog de Polar
Site en bleu / rose / vert

Non connecté
Identifiant
Mot de passe





Page(s) < Fin...679 678 677 676 675 674 673 672 ...Début >

02/09/2005

Et la nuit s’avance vers mes 33 ans, je crois que je ne suis plus folle !!! Nue devant le miroir, j’inspecte mon corps usé, fatigué, mais debout et j’écoute l’album de Cali et les paroles de ses chansons reflètent tellement ce que je ressent que je me sent rassurée de ne pas être la seule a me poser toutes ces questions.

Ais-je tout vu, tout vécu ?
Cette nuit va t-elle rester froide et muette ?
Dois-je continuer le chemin seule ?
Suis-je a la moitié, suis je a la fin ?
Vais-je encore rire ?
Vais-je encore pleurer ?
Vais-je partir sans avoir connu l’amour parfait ?
Vais-je attendre encore longtemps ?
Vais-je encore manger des frites et du poulet ?
Vais-je encore zapper pour faire défiler les chaînes ?
Est-ce lui ?
Pourra t’il me faire oublié le con d’avant lui ?
Suis-je bien faite pour lui ?
Aurais-je assez de talent pour qu’il m’aime tout le temps ?
Aurais-je envie de lui bouffer les lèvres et de croquer sa bouche?
pourrais-je mourir d’amour pour lui ?
Me laissera t-il partir ?
Tout va bien ?

Merci Cali !

Lara

02/09/2005

PAPA=MAMAN=BONHEUR POUR L'ENFANT.Quelle magnifique initiative de se battre pour le droit des Pères et c'est une femme qui le dit!
En tant qu'avocate, c'est le principe que je voudrais voir appliqué tous les jours par les magistrats parce que au-delà du droit des pères ou des mères, il y a celui de l'enfant de grandir avec ses deux parents...

Frédérique QUET

01/09/2005

Merci à toi Cali et à toutes les personnes d'agir pour ce sujet sensible et douloureux. Epuisant de se battre pendant des années pour exercer sa fonction de père. Combien de temps encore avant que les pères soient considérés de manière équitable par les juges aux affaires familiales ?
Personellement, 13 ans de lutte pour voir mon fils, 4 procédures civiles, 1 procédure pénale et la question n'est toujours pas résolue.
Que fait la "justice" ?
Elle prépare la résidence alternée ?
Ce n'est qu'un début...
Bien cordialement,

François Mary (Bordeaux)

François Mary

01/09/2005

Retour sur un article paru en 1991 dans Le Monde Libertaire.
Où en sommes-nous 14 ans après ?

Condition paternelle
L’Égalité des droits des... pères
Le Monde Libertaire, Le jeudi 19 septembre 1991.

Parmi les individus ne bénéficiant pas de tous leurs droits légitimes, dans ce beau pays qu’est la France, une catégorie fait peu parler d’elle... Et pourtant ! Les pères non mariés, puisqu’il s’agit d’eux, sont soumis, en effet, à des lois d’un autre âge qui en font des citoyens préalablement défavorisés devant les tribunaux. Une espèce d’apartheid qui s’exerce quotidiennement, sans provoquer beaucoup d’émoi...
À l’heure où l’égalité des droits est revendiquée ici ou là, à juste titre, il est aberrant que toute une partie de la population soit déconsidérée, d’emblée, en matière judiciaire.

Ainsi, lorsque dans un couple non marié les deux partenaires se séparent, la présence d’un ou plusieurs enfants peut poser d’inextricables problèmes. Malheureusement, être père, en France, aujourd’hui, signifie occuper une position plus qu’inconfortable vis-à-vis de la loi et obtenir la garde de son (ses) enfant (s) tient de l’exploit.

Alors que les plaignants sont censés, légalement, bénéficier d’attentions similaires de la part des magistrats, un père, devant un tribunal, devra s’acharner à faire preuve de sa bonne foi, voire de ses bonnes mœurs, souvent en vain d’ailleurs, tandis qu’une mère, sauf cas exceptionnel, en est dispensée.

Il faut savoir qu’un père n’a, initialement, aucun droit sur son enfant, que la mère, en revanche, les possède tous. Offrir aux femmes des droits comparables à ceux des hommes est une chose dont on ne peut que se féliciter, tout comme on ne pourrait qu’approuver l’égalité de traitement des Français et des immigrés, des riches et des pauvres...

Mais là, en l’occurrence, règne la plus stricte inégalité, qui pour être légale n’en est pas moins complètement illégitime. Tout se passe comme si un groupe social précis tenait à conserver jalousement ses privilèges. Les réactions sont les mêmes que celles qui émaneraient, par exemple, d’un patron mis en cause par ses employés, lequel n’hésitera pas à se réfugier derrière la loi, sachant pertinemment qu’il obtiendra gain de cause. Devant les récriminations d’un père, une mère, comme un patron devant les griefs de ses employés, lancera souvent en dernier recours : « C’est comme ça et pas autrement ! » Que répondre à cela ?

Le Nouveau mouvement de la condition paternelle, une association ouverte aux hommes et aux femmes [1], revendique un rééquilibrage des statuts.
« Nous nous battons, explique-t-elle, pour que la "justice" :
cesse d’inciter les mères à choisir leur intérêt personnel avant leur devoir de parent en en faisant les éternelles gagnantes des séparations [...] ;
considère, avant tout, que l’intérêt et le droit des enfants est de garder leurs deux parents ;
cesse de cautionner les déménagements-enlèvements ayant pour seul but la mise à l’écart du père, poussant certains d’entre eux à des actions désespérées (enlèvement, suicide...). »

Flagrante inégalité
La séparation d’un couple, pour traumatisante, paraît-il, qu’elle soit quelquefois pour les adultes concernés, ne doit pas l’être pour un enfant, qui, l’âge aidant, est particulièrement sensible aux tiraillements dont il s’avère l’objet. Seule une égalité des droits entre le père et la mère, en éliminant un important motif de discorde, est à même de garantir à l’enfant un développement harmonieux.

La lutte contre le sexisme, qui a mobilisé les efforts de femmes mais aussi de nombreux hommes, implique une lutte contre toute forme de discrimination et non un simple renversement de la situation. Il est, par exemple, inadmissible que 10 % des pères, une fraction vraiment infime, obtiennent la garde de leur (s) enfant (s), alors que 75 % à 80 %, selon le NMCP, le demandent. L’inégalité des droits est ici flagrante.

À conditions égales (revenus, logement...), les juges accordent systématiquement le droit de garde, autrement dit l’exercice de l’autorité parentale, à la mère. Et même lorsque le père, manifestement, présente de plus sérieuses garanties pour élever l’enfant, le choix continue de s’exercer au profit de la mère.

Pour s’y opposer, le père n’a pratiquement aucun moyen. Reconnaître l’enfant lui évite de se voir privé d’office de tout droit, mais ne lui en procure guère. Se marier avec la mère ne le met pas plus à l’abri. En cas de séparation, si, comme de coutume le droit de garde ne lui est accordé qu’avec une extrême parcimonie (en général - et au mieux - pour les enfants qui ne sont plus « en bas âge » : un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires) et s’il persiste à vouloir en user (il faut être motivé), les éventuels frais de déplacement seront à sa charge, en plus, bien entendu, d’une pension alimentaire versée à la mère. Cette pension, qui se justifie parfois, apparaît d’autres fois comme une pénalisation infligée au père.

Cette différence de statut entre le père et la mère reflète bien le poids des traditions dans notre pays, même lorsque celles-ci sont à l’évidence tombées en désuétude. L’homme au travail, la femme au foyer, à s’occuper de ses enfants, voici quels sont les rôles encore préconisés par un appareil judiciaire archaïque. Comment ne pas être indisposé par ces relents de pétainisme ! La mère est obligatoirement maternelle (parlons-en de ce fameux « instinct », qui relève surtout de l’éducation !) et le père, garant de l’autorité de la famille, ne doit porter à sa progéniture qu’une attention limitée. Ne mélangeons pas les rôles, et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes !

Pourtant, cette vision de la société ne correspond plus à grand-chose à l’heure où hommes et femmes se partagent le travail (salarié ou domestique) et tendent enfin, en de nombreux points sauf celui qui nous préoccupe, à bénéficier de droits équivalents. Pour le bien de tous, et des enfants en premier lieu, il importe donc qu’une réelle égalité de statut soit appliquée.

T.M.

[1] (1) NMCP, 144, avenue Daumesnil, 75012 Paris. Tél. (1) 43.41.45.18. Permanence le lundi, de 19 h à 23 h, avenue Daumesnil (M° Gare-de-Lyon), 75012 Paris .


François Mary

31/08/2005

coucou tout le monde voila j'ai appris qu'il y avait une nouvelle chanson de cali qui etait sortie!!!

On peut la trouvé ou?!

Merci de me repondre!
a plus et vivement le 3 octobre!

justeceline

Page(s) < Fin...679 678 677 676 675 674 673 672 ...Début >

Remerciements Les liens La liste des contacts
Page générée en 0.144 secondes